Sandra
(Vague stelle dell’Orsa), de Luchino
Visconti (1965).
Ces jours-ci, le Champo, haut lieu
de la cinéphilie parisienne, fait salles combles avec la sortie des Jours comptés, d’Elio Petri, dont j’ai
déjà parlé ici, et la reprise de Sandra,
de Luchino Visconti. C’est tant mieux pour le cinéma en général, pour le cinéma
italien en particulier, depuis bien trop longtemps dans un état semi-comateux,
et pour Petri et Visconti, deux cinéastes importants à des titres divers, même
si l’œuvre du second me paraît infiniment mieux vieillir que celle du
premier -- et, pour Sandra,
en dépit d’une copie assez moyenne, bien que neuve[1].